mercredi 16 mai 2012

une journée pas commes les autres...

Ce mardi, je me suis rendu aux funérailles de la maman d'un collègue. Cette personne est décédée à l'âge de 87 ans en partant "calmement". C'est le donc cours de la vie et jusque là c'est assez normal. J'arrive au Funérarium, avec ma collège, dix minutes avant l'heure annoncée au programme de la journée.

Nous sommes accueillis par le personnel comme si nous étions de la famille. On se manifeste notre étonnement par un bref regard. On comprend mieux quand on nous place devant le cercueil et que l'on se rend compte que nous sommes en réalité les premiers. Notre collège n'est pas là. Je savais que ce Monsieur - que j'apprécie - est très curieux mais c'est quand même un peu bizarre... Quelques minutes après, mon collègue (que j'appelerai Guy) arrive accompagné d'une autre collègue. J'apprends du même coup que les bruits de couloir entendue le matin même et annonçant ces deux personnes ensemble sont donc fondés...

On se regarde, on échange quelques mots et Guy fait semblant d'être insensible. Il faut dire que je peux malheureusement me comparer à lui dans une situation presque similaire et que je ne m'imagine pas réagir de la sorte. Encore 4 ou 5 personnes se joignent à nous et au final nous sommes donc très peu. De quoi parle t-on dans ce genre de situation ? Curieusement, l'ambiance se révèle peu tendue dans un environnement où - selon moi - on ne peut pas être à son aise.

A un moment, Guy lance au personnel du funérarium un : "Bon les gars, c'est quand vous voulez". Le responsable lui répond très gentillement qu'ils ont un horaire à respecter. Les minutes passent et le cortège démarre ensuite après un cérémonial qui semble quand même un peu désuet ?  (j'imagine ce qui se passe dans la tête d'un gars qui doit faire preuve de "respect" devant le cercueil de qq'un qu'il ne connaît pas du tout, je devrai peut-être regarder la série six feeds under).

Au crématorium, suit un cérémonial bien établi avec lecture d'un texte pas trop stupide par une personne qui nous parle de notre peine (pense t-il à sa liste des courses ?), etc. A épingler quand même, un discours très émouvant de mon collègue sur sa maman. Il retrace sa vie en évoquant quelques événements importants (implication dans la vie culturelle de l'après-guerre, etc.) ce qui nous permet de mieux appréhender la personnalité de mon collègue.

Après ces quelques heures, retour au travail où tous (je devrai dire toutes) mes collègues sont étonnés par le changement qui agite notre petite équipe. Il est vrai qu'il est rare de voir se développer des relations de ce genre chez nous. Cela annonce un beau bordel en tout cas ! Personnellement, je m'en fous un peu qu'ils couchent (encore faudrait-il le prouver) ensemble mais mes collègues semblent plus touchées par le compartement de F. (c'est une femme mariée, elle a une fille, etc.). Comme quoi faut mieux être un infidéle qu'une infidèle... Je quitte ce petit monde pour m'isoler dans mon bureau pour apprendre que je vais bientôt pouvoir oeuvrer pour une institution qui contribue au bien-être la société (faut avoir des idéaux dans la vie...).

Définitivement pas les comme autres cette journée...



jeudi 10 mai 2012

Rage : un jeu pour gamer

Ce post pourrait s'intituler "J'ai la Rage" mais cela serait vraiment trop nul...

Je joue actuellement à divers jeux video. Le plus fun est certainement Mario Kart 7 sur ma 3DS. C'est trop fun ce jeu... Le graphisme atteint le niveau du mario kart wii (ok ce n'est pas difficile vu que la wii a la puissance d'une PS2) et la jouabilité est assez bonne. Le gameplay convient parfaitement aux transports et particulièrement au train. Il y a peu, je pensais être un grand pro de ce jeu mais j'ai été confronté, il y a 3 mois,  à un petit gars de 11 ans qui m'a battu sans aucun problème. Depuis, je ne dis plus que je joue bien à Mario Kart.

Sur ma PS3, je me suis focalisé sur Rage. Ce jeu a été développé par le studio qui a créé Doom. Ce dernier m'avait fait passé du bon temps sur ma PS1. Pour la première fois, je pouvais tuer une série de méchants monstres en parcourant des couloirs noirs, froids et peu accueillant (c'est un euphémisme). Doom provoquait un sentiment de peur... (comme quoi cela n'est en rien lié à la technologie....). On retrouve un peu ces mêmes ingrédients dans Rage. Attention, ici on ne traverse pas des couloirs sombres (pas toujours du moins) et on a plus de liberté mais le sentiment de peur (cela m'est arrivé de sursauter) est bien là. Ce jeu - qui appartient à la grande famille des FPS - est aussi assez difficile. Par exemple, on ne peut pas sauvegarder toutes les 30 secondes comme dans d'autres jeux du même genre (Call of duty ou Battlefield). Il s'inscrit donc dans la lignée des vieux jeux où l'on avait la possibilité de sauvegarder à la fin d'un niveau. C'est d'ailleurs bien dérangeant d'avoir ce choix (les sauvegardes sont d'ailleurs automatiques) dans les autres FPS. Cela facilite inutilement le jeu. J'imagine que c'est pour éviter que les joueurs peu motivés ne délaissent le jeu... Je suis tellement dans Rage que j'y ai joué dès que je me suis levé (ce que je n'avais plus fais depuis des lustres) et provoquant une arrivée plus tardive au boulot !

On continue à discuter de mes films cultes

Aujourd'hui, mes collègues et moi avons continué à discuter de l'équipe du Splendid et évidemment nous avons évoqué le film (pas la pièce que j'adore également en raison d'une fin différente) Le Père Noël est une ordure. Quel film culte ! Je l'ai regardé une cinquantaine de fois. Durant la rédaction de mon mémoire, je le passais en boucle durant les temps de midi ou au déjeuner (ainsi je pouvais l'arrêter sans trop de problème...).

Parmi les moments à retenir : les bonnes recettes de Monsieur Presckovic, Thierry Lhermitte allongé sur le divan avec sa veste assortie à la couleur de ce meuble, la réponse de Balasko à M. Blanc au téléphone, le "je n'ai rien senti" et la tête de Lhermitte, le découpage du réparateur d'ascenseur, le meilleur rôle de Clavier (acteur que je n'aime pas particulièrement, est-il toujours copain avec son désormais illustre ami d'enfance ?), etc.

Je ne pourrai pas parler autant d'autres films...

mercredi 9 mai 2012

Vive le journalisme d'investigation

Bon je sais que je le journalisme d'investigation est presque mort car les groupes de presse considérent que ce n'est pas rentable mais il y a quand même un minimum...

Via l'onglet actu de google, je veille des sujets qui m'intéressent quotidiennement et actuellement : lecture publique, La louvière,  wiiu, 3ds, etc. (tout cela est finalement lié à mes loisirs). Je vois un article qui touche à La Louvière et son plan de développement :
 
Cinq lignes. A peine. C'est dingue quand même ? C'est pour Twitter ?
 
 

Les bronzes, quel film !

Je viens de passer un bon moment avec mes collègues (que j'apprécie beaucoup dommage que... mais c'est une autre question) à parler du film culte Les bronzés font du ski. Que de répliques, de souvenirs (dont une soirée consacrée à visionner les deux épispodes avec mes amis de l'Université), etc. Ce film, je l'ai vu une cinquantaine de fois. En famille, quand on ne savait pas ce que l'on pouvait regarder à la TV, on mettait la K7 (elle ne doit d'ailleurs plus fonctionner maintenant) des Bronzés font du ski. Cela a d'ailleurs contribué à me forger mon type d'humour.

Mes répliques préférées (plutôt prendre cela pour le sens, mon ami Lionel serait certainement plus précis) : "Oublie que tu n'as aucune chance", "Tu considéres cela comme des secours", C'est le vieux Monsieur... Vous avez de la pâte...

La connaissance et surtout l'adoration pour ce film devrait être la première question que je pose si j'étais sur un site de rencontres....